La prĂ©sidentielle gabonaise du 12 avril 2025 connaĂ®t dĂ©jĂ un premier rebondissement majeur. Le prĂ©sident du Parti de l’UnitĂ© et de la RĂ©gĂ©nĂ©ration (PUR) a annoncĂ©, ce mardi 3 mars, son retrait de la course Ă©lectorale, estimant que le scrutin est jouĂ© d’avance. Cette dĂ©cision intervient quelques heures seulement après la dĂ©claration de candidature du…
Le 16 janvier 2025, le ministre togolais des Affaires Ă©trangères, Robert Dussey, a clairement affirmĂ© que le Togo est disposĂ© Ă rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES), une coalition qui regroupe actuellement le Mali, le Burkina Faso et le Niger. Cette dĂ©claration a Ă©tĂ© faite lors d’une interview exclusive sur Voxafrica, oĂą il a…
La politique nigĂ©riane est secouĂ©e par une nouvelle controverse. La sĂ©natrice Natasha Akpoti Uduaghan a Ă©tĂ© suspendue pour six mois après avoir accusĂ© le prĂ©sident du SĂ©nat, Godswill Akpabio, de harcèlement sexuel. Une dĂ©cision qui soulève l’indignation et ravive le dĂ©bat sur les violences faites aux femmes en politique. Un scandale explosif au sommet du…
Son arrestation en janvier 2024 et sa dĂ©tention prolongĂ©e suscitent des inquiĂ©tudes sur la situation politique et judiciaire aux Comores. Une arrestation en pleine pĂ©riode Ă©lectorale Le 9 janvier 2024, Achmet SaĂŻd Mohamed, figure de l’opposition comorienne et leader du Mouvement Hury, est interpellĂ© devant son domicile Ă Moroni par des hommes cagoulĂ©s. Cette arrestation…
Harare veut rejoindre le groupe des Ă©conomies Ă©mergentes pour diversifier ses partenariats et renforcer son dĂ©veloppement. Un tournant gĂ©opolitique majeur Le Zimbabwe vient de franchir une Ă©tape dĂ©cisive en dĂ©posant officiellement une demande d’adhĂ©sion Ă la Nouvelle Banque de DĂ©veloppement (NBD) des BRICS. Soutenue par des puissances comme la Russie, le BrĂ©sil et l’Afrique du…
đź”´ Un Chef d’État Qui Se Met Ă l’Écart ? Le prĂ©sident de la transition guinĂ©enne, le GĂ©nĂ©ral Mamadi Doumbouya, a quittĂ© le palais prĂ©sidentiel de Conakry pour s’installer sur l’île de Kassa, au large de la capitale. Une dĂ©cision inattendue qui alimente les spĂ©culations sur l’avenir politique de la GuinĂ©e et les vĂ©ritables raisons…
Le 28 fĂ©vrier 2025, la situation politique au KasaĂŻ-Central a pris une tournure tendue alors que le gouverneur de la province, DieudonnĂ© Pieme, a Ă©tĂ© vivement interpellĂ© par la sociĂ©tĂ© civile et l’opposition locale pour retirer ses arrĂŞtĂ©s concernant la nomination des membres de ses cabinets ministĂ©riels. Ces dĂ©cisions, jugĂ©es irregularitĂ©s administratives par certains, sont perçues comme une tentative de consolidation de pouvoir au dĂ©triment des principes de transparence et de mĂ©rite dans l’administration publique.
🔹 Des nominations controversées
Le gouverneur Pieme a récemment signé plusieurs arrêtés nommant des membres à des postes stratégiques dans les différents ministères du Kasaï-Central. Ces décisions ont immédiatement déclenché une vague de critiques, non seulement au sein de l’opposition, mais aussi parmi les citoyens de la province, qui considèrent ces nominations comme des favoritismes politiques et des compensations pour des soutiens électoraux. De nombreux observateurs estiment que les nominations manquent de compétence et ne respectent pas les critères requis pour occuper ces fonctions.
Le 28 février 2025, à Sakania, le Premier ministre de la République Démocratique du Congo, Sama Lukonde, a lancé un appel solennel à l’unité nationale, un cri d’alerte désespéré face à l’agression brutale qui menace l’existence même du pays. À un moment où la RDC est plongée dans une guerre sanglante, alimentée par les groupes armés soutenus par des puissances étrangères, Lukonde n’a pas mâché ses mots : le pays est en danger et seul un sursaut collectif peut le sauver de la dévastation.
🔹 Une guerre d’agression qui déchire le cœur du pays
La guerre qui frappe l’est du pays n’est pas qu’un simple conflit régional, c’est une agression impitoyable, une attaque frontale contre la souveraineté de la RDC, orchestrée par des forces extérieures, notamment le Rwanda, via des groupes rebelles comme le M23. Sama Lukonde a été clair : il ne s’agit pas simplement d’une crise militaire, mais d’une menace existentielle pour le pays. Il a averti que la RDC est sous le feu ennemi et que chaque Congolais, chaque citoyen, doit comprendre l’urgence de l’heure et se tenir prêt à tout donner pour défendre la patrie.
Le 24 fĂ©vrier 2025, au moins 11 personnes ont perdu la vie et une soixantaine d’autres ont Ă©tĂ© blessĂ©es dans des explosions survenues lors d’un meeting du groupe rebelle M23 Ă Kitchanga, dans l’est de la RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo (RDC). L’attaque, d’une violence inouĂŻe, a plongĂ© la ville dans un Ă©tat de choc, marquant une nouvelle escalade dans la violence qui ravage cette rĂ©gion du pays depuis des annĂ©es.
🔹 Le contexte de la tragédie
Le M23, un groupe rebelle soutenu par le Rwanda, continue de semer la terreur dans l’est de la RDC. MalgrĂ© les accords de paix prĂ©cĂ©dents, le groupe lutte pour l’indĂ©pendance de certaines rĂ©gions, en menant rĂ©gulièrement des attaques contre l’armĂ©e congolaise et les civils. Ce meeting, censĂ© ĂŞtre une dĂ©monstration de force, a tournĂ© en un vĂ©ritable carnage.
Le Soudan, plongé dans un conflit dévastateur depuis avril 2023, se retrouve aujourd’hui avec deux gouvernements rivaux qui revendiquent chacun la légitimité du pouvoir. D’un côté, l’administration dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhan, chef de l’armée soudanaise (SAF), et de l’autre, un gouvernement parallèle formé par les Forces de soutien rapide (FSR) de Mohamed Hamdan Dagalo, alias « Hemedti ». Cette situation accentue le chaos et divise encore plus un pays déjà ravagé par la guerre.
