🔴 Un Chef d’État Qui Se Met à l’Écart ? Le président de la transition guinéenne, le Général Mamadi Doumbouya, a quitté le palais présidentiel de Conakry pour s’installer sur l’île de Kassa, au large de la capitale. Une décision inattendue qui alimente les spéculations sur l’avenir politique de la Guinée et les véritables raisons…
Le 28 février 2025, la situation politique au Kasaï-Central a pris une tournure tendue alors que le gouverneur de la province, Dieudonné Pieme, a été vivement interpellé par la société civile et l’opposition locale pour retirer ses arrêtés concernant la nomination des membres de ses cabinets ministériels. Ces décisions, jugées irregularités administratives par certains, sont perçues comme une tentative de consolidation de pouvoir au détriment des principes de transparence et de mérite dans l’administration publique.
🔹 Des nominations controversées
Le gouverneur Pieme a récemment signé plusieurs arrêtés nommant des membres à des postes stratégiques dans les différents ministères du Kasaï-Central. Ces décisions ont immédiatement déclenché une vague de critiques, non seulement au sein de l’opposition, mais aussi parmi les citoyens de la province, qui considèrent ces nominations comme des favoritismes politiques et des compensations pour des soutiens électoraux. De nombreux observateurs estiment que les nominations manquent de compétence et ne respectent pas les critères requis pour occuper ces fonctions.
Le 28 février 2025, à Sakania, le Premier ministre de la République Démocratique du Congo, Sama Lukonde, a lancé un appel solennel à l’unité nationale, un cri d’alerte désespéré face à l’agression brutale qui menace l’existence même du pays. À un moment où la RDC est plongée dans une guerre sanglante, alimentée par les groupes armés soutenus par des puissances étrangères, Lukonde n’a pas mâché ses mots : le pays est en danger et seul un sursaut collectif peut le sauver de la dévastation.
🔹 Une guerre d’agression qui déchire le cœur du pays
La guerre qui frappe l’est du pays n’est pas qu’un simple conflit régional, c’est une agression impitoyable, une attaque frontale contre la souveraineté de la RDC, orchestrée par des forces extérieures, notamment le Rwanda, via des groupes rebelles comme le M23. Sama Lukonde a été clair : il ne s’agit pas simplement d’une crise militaire, mais d’une menace existentielle pour le pays. Il a averti que la RDC est sous le feu ennemi et que chaque Congolais, chaque citoyen, doit comprendre l’urgence de l’heure et se tenir prêt à tout donner pour défendre la patrie.
Le 24 février 2025, au moins 11 personnes ont perdu la vie et une soixantaine d’autres ont été blessées dans des explosions survenues lors d’un meeting du groupe rebelle M23 à Kitchanga, dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC). L’attaque, d’une violence inouïe, a plongé la ville dans un état de choc, marquant une nouvelle escalade dans la violence qui ravage cette région du pays depuis des années.
🔹 Le contexte de la tragédie
Le M23, un groupe rebelle soutenu par le Rwanda, continue de semer la terreur dans l’est de la RDC. Malgré les accords de paix précédents, le groupe lutte pour l’indépendance de certaines régions, en menant régulièrement des attaques contre l’armée congolaise et les civils. Ce meeting, censé être une démonstration de force, a tourné en un véritable carnage.
Le Soudan, plongé dans un conflit dévastateur depuis avril 2023, se retrouve aujourd’hui avec deux gouvernements rivaux qui revendiquent chacun la légitimité du pouvoir. D’un côté, l’administration dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhan, chef de l’armée soudanaise (SAF), et de l’autre, un gouvernement parallèle formé par les Forces de soutien rapide (FSR) de Mohamed Hamdan Dagalo, alias « Hemedti ». Cette situation accentue le chaos et divise encore plus un pays déjà ravagé par la guerre.
Détrompez vous, ce n’est pas l’acteur dans VIVE LA FRANCE à TABOULISTAN , mais c’est Abdullah Öcalan qui lance un appel à la dissolution du PKK Dans une déclaration choc, Abdullah Öcalan, leader historique du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), a appelé à la dissolution du mouvement et à l’abandon de la lutte armée….
La ville de Bukavu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a été secouée ce mardi par plusieurs explosions survenues lors d’un meeting organisé par l’Alliance des Forces du Changement (AFC), un groupe politique associé aux revendications du M23. Une attaque ciblée en pleine réunion politique L’événement, qui se tenait en présence de…
Le 20 février 2025, la France a procédé à la restitution officielle du camp militaire de Port-Bouët aux autorités ivoiriennes, parachevant ainsi une transition stratégique méticuleusement orchestrée. La cérémonie de passation, présidée par les ministres de la Défense des deux nations, Sébastien Lecornu pour la France et Téné Birahima Ouattara pour la Côte d’Ivoire, marque une reconfiguration substantielle du partenariat militaire franco-ivoirien, tout en consacrant la souveraineté nationale de l’État ivoirien sur un site emblématique.
ALLEMAGNE : Un tournant politique majeur avec l’élection de Friedrich Merz comme chancelier
Le 23 février 2025, l’Allemagne a organisé des élections fédérales anticipées pour élire un nouveau chancelier, suite à la perte de la majorité parlementaire par le chancelier sortant, Olaf Scholz. Cette élection a été marquée par une compétition intense entre les principaux partis politiques du pays.
Alors que la situation en République démocratique du Congo (RDC) reste tendue, une question revient avec insistance : l’Afrique du Sud poursuivra-t-elle son soutien militaire à Kinshasa malgré les accusations de répression et de gouvernance autoritaire ?
Depuis des années, Pretoria joue un rôle clé dans le soutien au régime congolais, notamment sous Joseph Kabila et, plus récemment, sous Félix Tshisekedi. Ce soutien s’est souvent traduit par une coopération militaire, avec l’envoi de troupes sud-africaines sous l’égide de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). Mais face aux critiques croissantes contre la gouvernance congolaise, ce partenariat militaire est de plus en plus remis en question.
