🇺🇸 Harvard sous pression : l’administration Trump menace les étudiants étrangers

BOSTON – 24 mai 2025. Dans une atmosphère électrique aux États-Unis, l’université Harvard, symbole d’excellence académique mondiale, est prise pour cible par un ultimatum de l’administration Trump : elle doit fournir avant dimanche tous les documents administratifs exigés pour conserver son habilitation à accueillir des étudiants étrangers. En cas de non-respect, des milliers de jeunes risquent l’expulsion ou le refus de visa.


🧨 Une décision brutale, un choc universitaire

Le décret surprise, signé jeudi soir, impose aux universités américaines de justifier de leurs capacités pédagogiques et financières pour recevoir des étudiants non-américains. Une mesure qualifiée « d’illégale et discriminatoire » par la présidence de Harvard. Le recteur Lawrence Bacow a dénoncé un acte qui « sape l’intégrité même de l’enseignement supérieur américain ».

Le coup est rude : Harvard accueille plus de 6 000 étudiants internationaux chaque année, venus des quatre coins du monde, y compris de nombreux pays africains. L’université est non seulement un centre de savoir, mais aussi un réseau diplomatique et intellectuel mondial.


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Cette attaque frontale contre Harvard n’est pas isolée. Elle s’inscrit dans une longue série de mesures antimigratoires prises par Donald Trump depuis son retour au pouvoir. Le message est clair : America First s’applique aussi à l’enseignement. Derrière le prétexte administratif, une volonté politique de filtrer, contrôler, voire exclure certains profils étrangers, souvent issus de pays non alignés.

Mais cela va plus loin. En menaçant Harvard, c’est le modèle américain d’ouverture intellectuelle qui est remis en cause. Et avec lui, l’attractivité mondiale des universités américaines, déjà concurrencées par le Canada, le Royaume-Uni ou la Chine.


💣 L’effet domino en Afrique

Sur le continent africain, la nouvelle a provoqué une onde de choc. Plusieurs étudiants boursiers et chercheurs en partance pour les États-Unis se retrouvent dans une incertitude totale. Des ambassades américaines ont suspendu temporairement les rendez-vous de visas dans certaines capitales africaines. Des diplomates et ministres de l’éducation dénoncent un climat d’hostilité injustifié.


🛡️ RĂ©sister ou s’adapter ?

Harvard a dĂ©cidĂ© de saisir la Cour suprĂŞme, espĂ©rant une suspension d’urgence de l’application du dĂ©cret. D’autres universitĂ©s comme MIT, Yale ou Stanford ont dĂ©jĂ  exprimĂ© leur solidaritĂ© et envisagent un boycott juridique collectif.

Mais la décision pourrait bien annoncer un tournant plus large : le début d’un repli intellectuel américain, avec pour victime collatérale, la jeunesse mondiale, et notamment celle du Sud global.


« Il est impensable que l’excellence soit conditionnée à un passeport », a déclaré un étudiant africain en Master à Harvard.


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